Conclusion

Les TICE (Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement) portent effectivement bien leur nom. Comme nous avons pu le constater à travers les différents articles, les TICE permettent divers usages plus intéressants les uns que les autres au service de l’enseignement.  Il est ensuite du devoir de l'enseignant de faire la part des choses en utilisant le numérique à bon escient et non pas simplement parce que cela est demandé par le Ministère de l'Education Nationale. Il doit proposer des usages différents de ceux réalisés à la maison tout en sensibilisant  les enfants aux dangers. A lui d'estimer pour quelle activité l'usage du digital est le plus judicieux et de ne pas l'utiliser uniquement par souci de "motivation des élèves". Son utilisation pourra être par exemple intéressante pour une activité de compréhension orale mais à oublier lors de la découverte d'une nouvelle notion un peu complexe. Point non négligeable, des machines restent des machines, au niveau fiabilité, il existe toujours le risque que le numérique nous fasse défaut à n’importe quel moment d’où la nécessité de toujours avoir un plan B.

Bien que les nouvelles technologies progressent et apparaissent de plus en plus, les classes totalement connectées sont encore bien loin dans les écoles françaises. De plus, aucune raison de s'inquiéter, rien ne vaut le relationnel (comme un accueil chaleureux et humain ou une bonne explication orale individualisée). Les enseignants ont donc encore de beaux jours devant eux avant de se voir remplacer par des machines.